Newsletter - 27 novembre 2024
mardi 26 novembre 2024
Le Conseil national de l’Ordre des médecins a mené une vaste enquête sur les violences sexistes et sexuelles dans le milieu médical. L’enquête révèle que ces violences existent dès les études et tout au long de la carrière professionnelle. 26 % des médecins déclarent avoir subi des VSS perpétrées par un autre médecin. Un Dossier de la Drees mesure les écarts d’espérance de vie selon l’âge de début de carrière et selon l’âge d’atteinte du taux plein de retraite ; ce dossier montre que les personnes ayant commencé à cotiser à des âges très jeunes ont une espérance de vie plus faible. L’association Santé Solaire estime qu’en France au moins 1,5 million de personnes sont concernées par le risque de développer un cancer cutané du fait de leur activité professionnelle. Prévention BTP aborde le sujet des surexpositions aux UV. L’ISTNF s’intéresse au sujet : une nouvelle journée d’étude est dans les cartons pour le début de l’été prochain avec l’équipe des dermatologues de Lille. Le calendrier de nos événements pour 2025 a été arrêté, parmi les prochaines dates à retenir dans votre futur agenda, figure notre JMM du 17 janvier après-midi autour du sujet « Obésité et travail », qui sera animée par Paul Frimat et que nous organisons avec le concours de Monique Romon.
- Les travailleurs de plateforme : quels profils et quelles conditions de travail ? – Dares
- Trente ans de réformes abaissant l’âge de départ à la retraite à taux plein : quelles conséquences sur les inégalités de durée de retraite ? – Drees
- L'instant prévention - Travail sur écran et fatigue visuelle – Présanse Paca-Corse
- Les dermatologues documentent les cas de surexpositions aux UV – Prévention BTP
- Considérations clés en matière de SST dans le secteur de la santé et de l’aide sociale – Osha
- Enquête sur les violences sexistes et sexuelles – Cnom
- Ponts élévateurs : mieux comprendre pour mieux prévenir – IRSST
- Cass. soc., n° 23-17.699, n° 23-17.700 et n° 23-17.701 du 6 novembre 2024 - Le salarié qui a signé une transaction dans laquelle il renonce à toute action ne peut solliciter ultérieurement la réparation de son préjudice d'anxiété – ISTNF